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Accidents domestiques.

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48-04/13. Prévention.

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Prévention Les pompiers informent sur les accidents domestiques

Le médecin chef du SDIS au côté du Dr Jean-François Nicolas, président du Sdis. Photo P.V. (CLP)

L’importante exposition organisée dans l’Atrium Duhesme du conseil général par le lieutenant-colonel Diry, sera installée pendant trois semaines.

Très pédagogique, l’exposition ouverte à tout public concerne les risques domestiques, causes de très nombreux accidents. Dans ce domaine, les sapeurs-pompiers sont intervenus 31 000 fois en une année en Saône-et-Loire.

Deux cours seront donnés sur l’usage du défibrillateur au personnel du conseil général déjà inscrit. Renseignements et conseils seront nombreux en se rendant sur place, puisque des permanences de pompiers seront assurées. Le Groupement d’intervention en milieu périlleux (le Grimp), y fera même des démonstrations sur une passerelle.

Le docteur Nicolas, président du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) a rappelé lors de l’inauguration, combien des gestes simples et une bonne prévention pouvait suffire à sauver des vies et éviter les handicaps induits.

Rémi Chaintron, président du conseil général, s’il se satisfaisait de la réduction des morts sur les routes, espérait « qu’à travers la sensibilisation de la population, il puisse en être de même pour les accidents domestiques. » Par exemple, les détecteurs de fumées, pour quelques dizaines d’euros, éviteraient bien des décès. Le directeur de cabinet du préfet, Xavier Czerwinski, a loué le professionnalisme des pompiers tout en appelant lui aussi à une prise de conscience de chacun pour maîtriser les risques.

Des formations adultes et enfants devraient atteindre le niveau de l’Allemagne qui connaît ainsi moins de catastrophes.

Accidents domestiques.

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48-03/13. Algérie.

Algérie profonde Mercredi, 27 Novembre 2013 09:50

Le ministre du Commerce l’a déclaré à Sidi Bel-AbbÈs

450 000 interventions et 231 décès enregistrés

Par : A. BOUSMAHA

Les services de la Protection civile ont enregistré 396 cas de décès sur les 450 000 interventions effectuées en 2012, et 231 décès durant les 9 premiers mois de l’année en cours, où ont été comptabilisées 335 000 interventions. Les accidents domestiques les plus fréquents sont les asphyxies, les intoxications, les brûlures, les chutes et les explosions.

Mustapha Benbada, ministre du Commerce, qui était, avant-hier, en visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, a déclaré dans une allocution à l’ouverture de la Journée régionale d’information et de sensibilisation sur la prévention des accidents domestiques, organisée par la direction de wilaya du commerce et de l’Association de protection des consommateurs, que “pour les accidents domestiques, les services de la Protection civile ont enregistré 396 cas de décès sur les 450 000 interventions effectuées en 2012, et 231 décès durant les neuf premiers mois de l’année en cours, où ont été comptabilisées 335 000 interventions. Les cas d’accidents domestiques les plus fréquents sont des asphyxies, des intoxications, des brûlures des chutes et des explosions”. Dans ce contexte, le ministre du Commerce a rappelé que “la plupart des accidents domestiques sont dus à l’inconscience des citoyens, à la vétusté et la défectuosité des appareils électroménagers, notamment les chauffages. Pour cela, l’État s’est doté d’une série de lois pour réduire les conséquences néfastes des accidents domestiques et des produits contrefaits”. Lors d’un point de presse tenu à l’issue de cette visite et en réponse à une question de Liberté sur les mesures et les sanctions prises à l’encontre des commerçants réquisitionnés qui n’ont pas respecté les programmes de permanence durant les fêtes de l’Aïd El-Adha, le ministre du Commerce a indiqué : “Pour l’Aïd El-Adha, le taux d’observation de la permanence a été très important et il a dépassé les 97%. Moins de 600 commerçants sur les 16 000 réquisitionnés n’ont pas répondu présent. Les sanctions sont connues, la loi a été promulguée et elle est entrée en vigueur. Donc, ça sera la fermeture administrative et les dossiers des contrevenants seront soumis à la justice. Il y aura aussi des amendes qui varient entre 50 000 et 300 000 dinars”. Et d’ajouter : “Pour cela, nous avons fait un travail d’investigation et nous avons convoqué tous ceux qui ont failli. Ensuite, nous avons étudié leur situation, bien sûr, nous avons été un peu indulgents avec les gens qui avaient des cas de force majeure et ceux qui n’avaient aucun problème, leurs situations ont été traitées dans le cadre de la loi.” S’agissant des améliorants pour pain, interdits en Europe mais autorisés en Algérie et qui pourrait présenter un danger pour la santé du consommateur, il a expliqué : “Les améliorants pour pain font partie d’une pratique internationale, qui va avec le mode de cuisson. Nous, on a changé le mode de cuisson de notre pain du four à dalle au four rotatif et qui nécessite des améliorants, notamment, pour avoir l’aspect croquant du pain. Nous avons des références internationales, à l’image de Codex Alimentarius et l’OMS qui publient annuellement des bulletins d’alerte concernant certains produits cancérigènes. Donc, en ce qui nous concerne, je vous rassure, que la liste des améliorants est arrêtée par la Commission du Codex Alimentarius et nous appliquons à la lettre les conditions de l’OMS visant à protéger la santé des consommateurs et à assurer des pratiques loyales dans le commerce des aliments”, a-t-il ajouté.

A. B

Accidents domestiques.

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48-01/13. Accidents domestiques en Algérie.

El MOUDJAHID.COM : Quotidien national d'information

Recherchez sur Elmoudjahid.dz

Brûlures, intoxications, chutes, explosions, asphyxies… : Les accidents domestiques, un danger quotidien

Souvent conséquence d’inconscience et de négligence fatales, les accidents domestiques causent chaque année des centaines de victimes en Algérie. Hommes, femmes mais surtout beaucoup d’enfants sont au cœur de ces tragiques moments qui endeuillent les foyers algériens.

D.R

Souvent conséquence d’inconscience et de négligence fatales, les accidents domestiques causent chaque année des centaines de victimes en Algérie. Hommes, femmes mais surtout beaucoup d’enfants sont au cœur de ces tragiques moments qui endeuillent les foyers algériens.

Un manque de précaution conjugué à une prise de risques inutiles est généralement l’attitude de trop que les victimes auraient pu en faire l’économie. Du coup, le risque doit être géré quotidiennement et la vigilance est plus que jamais de mise pour maîtriser ce phénomène.
Brûlures, asphyxies, explosions de gaz, intoxications, chutes et autres accidents sont effet derrière la mort de 2090 personnes lors des dix premiers mois de cette année de 2013, selon les statistiques émanant de la cellule de communication de la Direction générale de la protection civile. Au final, on compte quelque 335.096 interventions effectuées par les agents de la PC qui ont permis de sauver 330.300 personnes.
Si les interventions liées aux maladies constituent le plus gros des opérations (291.870 interventions), soit plus de 87% du nombre total, les intoxications et même si elles n’ont pas causé de mort demeurent en première position en termes d’interventions durant cette période (1.469) si on n’exclut également les « autres » interventions (40.274) dont la nature n’a pas été précisée par la PC et qui ont surtout causé le plus grand nombre de victimes, en l’occurrence 1912 décès, soit plus de 91%. Mais excepté ces types d’accidents, le plus grand nombre de morts a été causé par les asphyxies, avec 143 victimes, soit près de 7% du nombre global des décès causés par les accidents domestiques, parmi lesquelles, on compte 14 enfants et 30 femmes. 862 personnes ont été cependant sauvées par les pompiers, dont 250 enfants
Sur 655 interventions liées aux asphyxies, le bilan de la PC fait état de 53 décès par asphyxie par gaz carbonique pour 590 personnes sauvées et de 50 décès par asphyxie par obturation des voies respiratoires pour 25 personnes sauvées.
Les asphyxies par gaz naturel du gaz butane sont derrière la mort de 14 personnes et le sauvetage de 164 citoyens constatés dans 13 interventions alors que les autres asphyxies ont nécessité 45 interventions qui ont fait 4 morts et permis de sauver 62 personnes. Les accidents dans les puits n’ont pas été du reste puisque la protection civile a enregistré en dix mois 18 morts par asphyxie par confinement d’air pour 21 personnes sauvées. Au nombre de 25 morts dont 5 enfants et 4 femmes, les brûlures ont toujours constitué l’un des accidents domestiques les plus courants de l’avis même des services de la protection civile. Au cours des dix premiers mois de l’année, 684 interventions ont été effectuées, ce qui a pu sauver plus de 780 personnes. 249 interventions ont trait aux brûlures causées par des produits liquides chauds où 256 personnes ont été sauvées sans toutefois qu’il y ait de morts.

Les asphyxies, un drame !
Ce qui n’a pas été le cas pour les brûlures causées par des flammes qui ont fait 15 décès pour 148 personnes sauvées dans 154 interventions et les brûlures causées par l’utilisation des appareils électroménagers qui ont causé 3 morts pour 49 personnes sauvées. Les brûlures causées par des produits chimiques ont nécessité 18 interventions qui ont sauvé 20 personnes contre 210 interventions et plus de 200 personnes sauvées dans les brûlures causées par d’autres objets.
L’autre type d’accidents domestiques qui constitue un danger certain pour les foyers algériens n’est autre que les explosions. Au 31 octobre, le bilan de la PC indique 136 interventions, 120 personnes sauvées et surtout 10 décès dont deux enfants.
Très utilisées durant la saison froide, la bouteille du gaz butane est source de plusieurs drames. Les explosions de bouteilles de gaz ont causé 80 interventions pour 58 personnes sauvées et deux décès.
Les explosions de chauffage n’ont pas été en reste puisqu’on enregistre deux morts, 7 interventions et 2 personnes sauvées. On compte par ailleurs 14 interventions et 13 personnes sauvées dues aux explosions de gaz naturel alors que pour les explosions d’appareils électroménagers, le bilan fait état de 7 interventions et 6 personnes sauvées. Enfin, les autres types d’explosions, qui n’ont pas été précisées, ont causé 6 morts pour 28 interventions et 40 personnes sauvées.
Avec zéro victime en dix mois, les intoxications font partie des rares accidents domestiques qui n’ont pas causé de morts. Toutefois, les cas recensés en dix mois se chiffrent par centaines, notamment lors des mariages et autres événements.
D’ailleurs, c’est en été, période des fêtes, qu’a été enregistré le plus grand nombre d’intoxications. Même les cantines scolaires et les restaurants universitaires en ont pris pour leur grade. Au total, les services de la protection civile ont effectué près de 1.470 interventions et 1.927 intoxiqués qui ont été fort heureusement sauvés parmi lesquels figurent 496 enfants et 629 femmes.
Les intoxications par produits alimentaires représentent plus du tiers des interventions (408), 845 personnes ont été sauvées tandis que les intoxications par produits pharmaceutiques ont causé des blessés pour autant d’interventions alors que l’ingurgitation de produits chimiques et liquides est responsable de l’intoxication de 145 personnes pour 110 intervention, et 800 autres interventions ont permis de secourir 827 personnes.
S. A. M.

Accidents domestiques.

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47-04/13. Prévention.

Prévention Des Accidents Domestiques Chez L'enfant

Posté par: Pierre Thine| Jeudi 21 novembre, 2013 12:15 | Consulté 6 fois | 0 Réactions |

Les risques varient avec l'âge

a) Jusqu'à 1 An.

Si les accidents n'occupent pas la première place, c'est l'âge où se produisent le plus grand nombre de morts accidentelles. Le bébé risque surtout l'asphyxie et les chutes, mais aussi le coup de chaleur, les brûlures, les intoxications, les accidents de la route.

Attention à ce qu'il ne soit pas étouffé dans ses couvertures, sous un oreiller (l'utilisation de couvertures attachées ou d'oreillers dans la literie d'un berceau est formellement déconseillée), par la faute du chat de la maison qui vient se coucher sur lui, avec tout ce qu'il peut porter à la bouche (épingles, broches...).

- Ne le laissez pas seul sur sa chaise haute ou sur une table à langer pendant que vous le changez et, mieux encore, dans ce dernier cas, tenez-le toujours bien.

b) De 1 à 4 Ans.

C'est pendant cette période que les accidents sont les plus fréquents.

Ils se produisent le plus souvent dans la maison et autour d'elle.

Les lieux les plus dangereux de la maison sont d'abord la cuisine, puis la chambre et la salle de bains.

Les risques encourus sont les chutes, les brûlures, les empoisonnements accidentels, la submersion.

.L'eau attire l'enfant et il lui en faut peu pour se noyer, une bassine parfois ; ne laissez jamais un enfant seul près de l'eau.:

. mettez les allumettes hors de sa portée ;

. tournez les queues des casseroles sur le fourneau vers le mur ;

. ne posez jamais de récipient d'eau chaude sur le sol ;

. fermez bien la porte donnant sur la rue : il ne s'y élancera pas en courant au risque de se faire écraser ;

. faites garnir les prises électriques avec des bouchons protecteurs : il ne risquera pas d'y mettre ses doigts ou d'y introduire un objet métallique ;

. dès qu'il commence à se déplacer seul, mettez hors de sa portée tous les petits objets qu'il peut saisir : boutons, agrafes, trombones, billes, cacahuètes et autres petits fruits secs, etc., qu'il risque d'introduire dans sa bouche, dans une narine, dans l'oreille. Souvenez-vous qu'au ras du sol, sous un meuble, il aura vite fait d'apercevoir et d'attraper l'objet oublié ou que le balai n'aura pas atteint ;

. mettez un grillage aux fenêtres, une barrière aux escaliers ;

. dehors, tenez-le fermement à la main ou mettez-lui un petit harnais ;

. rangez soigneusement et hors de portée de sa main, les objets tranchants ou coupants, les produits dangereux; médicaments, insecticides, produits d'entretien que vous garderez toujours dans leur conditionnement d'origine, sans les transvaser dans un autre contenant et prenez l'habitude d'éloigner l'enfant quand vous les utilisez (mettez-le dans son lit ou dans son parc...).

. fermez à clé votre boîte à outils.

c) De 5 à 14 Ans

Les accidents se produisent hors de la maison et plus particulièrement dans la rue. Les plus fréquents sont les accidents de la route et la noyade.

- Apprenez-lui les règles essentielles de la circulation car avant 10 ans, en effet, un enfant a du mal à les assimiler.:

- S'il a une bicyclette, enseignez-lui les éléments indispensables du Code de la route.

- Apprenez-lui à nager le plus tôt possible.

- Procurez-lui les équipements conformes à l'activité de loisirs qu'il pratique.

- Interdisez-lui de parler à des inconnus.

Accidents domestiques.

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47-02/13. Actu algérienne.

Algéria news.

Actualités : Les brûlures arrivent en tête
231 personnes victimes d’accidents domestiques en 2013

Des drames et des vies gâchées se cachent derrière les statistiques sur les accidents domestiques. Pour les neuf mois de l’année en cours, la Protection civile a fait pas moins de 335 000 interventions pour sauver des personnes victimes d’accidents domestiques. 231 d’entre elles ont malheureusement péri.

Nawal Imès - Alger (Le Soir)
Quelques secondes d’inattention, un manque de vigilance ou un appareil défectueux et c’est l’accident, souvent mortel. Les statistiques de la Protection civile sont effarantes.
Le nombre d’interventions de la Protection civile est en hausse et pas moins de 231 personnes sont mortes même, 2 235 d’entre elles ont pu être sauvées.
Brûlures, explosion de bonbonne de gaz, émanation de gaz carbonique ou ingestion de produits caustiques font partie des accidents les plus fréquents. Pour en limiter l’incidence, le ministère du Commerce et l’Association de protection et orientation du consommateur et son environnement de la Wilaya d’Alger (Apoce) organisaient, hier, un regroupement régional ayant pour but une plus grande sensibilisation.
Le ministre du Commerce y a axé l’essentiel de son intervention sur la nécessaire mise en conformité des appareils pouvant être à l’origine de drames à l’image des chauffages et autres chauffe-bains. Il révélera avoir donné instruction afin que l’ensemble des appareils de chauffage fassent l’objet de contrôle au niveau du laboratoire de Constantine.
Une vérification qui a d’ailleurs abouti à la saisie de 18 conteneurs contenant pas moins de 38 000 chauffages destinés au marché national car présentant de graves vices pouvant mettre en danger la vie des utilisateurs.
Une instruction qui n’a pas été du goût des opérateurs économiques mais qui aura évité la mise sur le marché d’appareils défectueux qui sont, chaque année, à l’origine de décès après inhalation de gaz carbonique.
Voulant frapper les esprits, le Pr Bouattou de la Clinique centrale d’Alger a évoqué les cas traités au niveau de cette structure. Des enfants ayant échappé à la vigilance de leurs parents y atterrissent, souvent brûlés à des degrés très importants et nécessitant une hospitalisation.
Durant l’année en cours, la clinique a reçu 5 768 cas d’enfants évacués en urgence. 662 ont été admis et malheureusement 6% des enfants hospitalisés sont décédés. 71% des brûlures sont dus à des liquides chauds qui étaient soit sur une cuisinière ou, pire encore, une tabbouna.
Les explosions des bonbonnes de gaz ou des cocottes sont à hauteur de 5% responsables des brûlures alors que les fers à repasser le sont dans 8% des cas et les barbecues à hauteur de 7%.
Le Dr Bouattou a rappelé les règles de sécurité élémentaires afin d’éviter que la maison, espace censé être celui de la sécurité, ne se transforme en une fraction de seconde en lieu de tous les dangers.
N. I.